En novembre 1913, entre Callao (Pérou) et Sydney (Australie), en plein Pacifique et en pleine tempête, tous les marins ont péris en mer. Une pensée pour leur mémoire.
Source : Internet (P DEROME - voyage en Australie janvier 1905 - juin 1906).
En cette année 2013, il est l'occasion de se souvenir qu'en 1913, a disparu, corps et bien, le Trois-Mâts Barque, le Maréchal de Gontaut. Les 5 bellilois et les 18 autres marins n'ont eu aucune reconnaissance de leur laborieux travail. C'est l'occasion, en cette année du centenaire de leur disparition, de leur rendre un chaleureux hommage, à eux en particulier, mais aussi à tous les marins bellilois péris en mer. Yvon de Loctudy
En novembre 1913, entre Callao (Pérou) et Sydney (Australie), en plein Pacifique et en pleine tempête, tous les marins ont péris en mer. Une pensée pour leur mémoire.
Source : Internet (P DEROME - voyage en Australie janvier 1905 - juin 1906).
La tour Solidor abrite les collections réunies par le musée de Saint-Malo sur la navigation au long-cours et sur les Cap Horniers.
De nombreuses maquettes, des instruments de bords, des objets façonnés par les marins au cours de leurs traversées ou ramenés en souvenir d’escales lointaines vous permettront de rêver à ces voyages extraordinaires sur les magnifiques grands voiliers de la fin du 19e et du début du XXe siècle qui allaient charger le nitrate du Chili, le bois et le blé de Californie ou d’Australie, le nickel de Nouvelle-Calédonie...
Source : http://www.ville-saint-malo.fr/culture/les-musees/musee-dhistoire-chateau-et-tour-solidor/
La mer a toujours été un sujet de chanson pour les marins.
Une petite illustration
Nous avons la chance d’avoir des services d’archives qui conservent les traces des déplacements et occupations de nos ancêtres. Ceci est d’autant plus important que, par définition, les documents de bord des navires ont pour une grande partie disparu en mer
Belle-Ile en Mer, depuis la nuit des temps a abrité à la fois des terriens mais aussi beaucoup de marins.
L’histoire, plutôt les histoires de ces marins ont été longuement évoquées dans des livres, des revues et propagées par l’oralité d’adultes à enfants.
L’histoire c’est l’évocation du passé et par analogie, la généalogie et étonnamment, ces sont les petits-enfants et non les enfants qui retracent les carrières et exploits des ascendants.
Ce n’est donc pas un hasard si Maryvonne et moi, chacun de son côté, sommes mis à la recherche du passé commun de nos grands-pères respectifs.
Et c’est ainsi, que petit à petit, nous avons élaboré le projet de commémoration de leur disparition en plein Pacifique.
Personnellement, je n’ai trouvé que très peu de traces de François GUEGAN, mon grand-père, même au Service Historique de la Marine à Lorient.
Par contre, Maryvonne a merveilleusement bien conservé des archives et des souvenirs des voyages de son aïeul Adolphe HUCHON, le capitaine du Maréchal de Gontaut.
C’est ainsi que s’est créé ce retour sur le passé de l’aventure de cet équipage en particulier mais aussi, par extension, des marins en général.