Je mes souviens, dans ma prime jeunesse, de ce vieux Monsieur qu’on évoquait comme étant un “cap-hornier”. A la différence de beaucoup de ses confrères et malgré bien des péripéties, il avait réussi à faire toute sa carrière sur les bateaux à voiles et d’atteindre l’âge mérité de la retraite.
Une personne en particulier, Madame Suzanne VINET-Le TOQUIN lui a consacré une partie dans le dernier paragraphe du chapitre intitulé “Les longs courriers à voile” de son livre “Belle-Ile”.
A deux occasions, je suis allé chez sa petite-fille Monique qui m’a très gentiment accueilli. Elle m’a sorti ses “précieuses archives” que j’ai numérisées pour la postérité.
Une partie de ces documents était soigneusement rangée dans son porte-document en toile que voici.
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